Christoph Morlinghaus
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Le premier et deuxième cliché ont été pris de ma chambre à coucher. Etant donné la belle vue que j’ai, je les ai inclus dans l’exposition.
Comment votre travail, idée a évolué ?
J’ai eu très peu de temps pour évoluer, les films et l’appareil étaient bloqués à la douane, mais j’ai toujours voulu montrer la beauté de Bogota. Avec le SX 70 j’ai pu atteindre des endroits que je ne peux pas atteindre avec mon appareil format large 20x25.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Le résultat est concluant une fois le contraste augmenté. Les couleurs y sont…juste un peu cachées. Je suis heureux qu’il y a toujours des passionnés qui développent et travaillent le support argentique.
Et maintenant ?
Ce serait génial de voir comment le film va évoluer. Peut-être serais-je parmi les heureux à le travailler. La prochaine génération ?
Christoph Morlinghaus
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Le premier et deuxième cliché ont été pris de ma chambre à coucher. Etant donné la belle vue que j’ai, je les ai inclus dans l’exposition.
Comment votre travail, idée a évolué ?
J’ai eu très peu de temps pour évoluer, les films et l’appareil étaient bloqués à la douane, mais j’ai toujours voulu montrer la beauté de Bogota. Avec le SX 70 j’ai pu atteindre des endroits que je ne peux pas atteindre avec mon appareil format large 20x25.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Le résultat est concluant une fois le contraste augmenté. Les couleurs y sont…juste un peu cachées. Je suis heureux qu’il y a toujours des passionnés qui développent et travaillent le support argentique.
Et maintenant ?
Ce serait génial de voir comment le film va évoluer. Peut-être serais-je parmi les heureux à le travailler. La prochaine génération ?
Les jeux d'échelle et les effets de miroir sont pour lui autant de visions nouvelles des villes.
Né en Allemagne en 1968, Christoph Morlinghaus a fait des études de design et de photographie à la Fachhochschule School of Design & Photography de Dortmund.
Devenu professionnel en 1994, il puise son influence auprès du design graphique de Otl Aicher. En 2002, Christoph s'installe à New York où il trouve l'inspiration déterminante de sa carrière dans la capture de paysages urbains, de monuments et d'espaces intérieurs. Il trouve dans sa ville d'adoption des représentations hyperréalistes de lieux où aucune individualité ne peut trouver sa place.
Les jeux d'échelle et les effets de miroir sont pour lui autant de visions nouvelles des villes et de leurs lieux, paradoxalement sans vie. Christoph a été récompensé régulièrement par plusieurs nominations et prix internationaux. Il reçut notamment trois années de suite (2001, 2002, 2003) des prix de la prestigieuse association des photographes britannique (AOP). Le prix « Art Directors Club » (USA) lui fut remis en 2006 et le prix de la photographie américaine (USA) en 2007.
Son travail est exposé régulièrement dans des galeries à Londres, Brighton, Miami ou New York. Des grandes marques aussi créatives que Nike, IBM, British Airways ou Mercedes-Benz ont déjà fait appel à ses services.