Jan Van Endert
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Ma toute première photo, je l’ai faite petit enfant avec le Zeiss Nikon de mon père. Je l’avais shootée en été et vu que mon père n’avait développé le film qu’un mois plus tard, j’ai trouvé que photographier était ennuyeux.
Puis en tant qu’adolescent j’ai shooté au Polaroid et j’ai trouvé cela vraiment cool car on avait le résultat deux minutes plus tard. Le fonctionnement de l’appareil polaroid me paraissait aussi miraculeux.
Puis je me suis remis au polaroid il ya quelques année, et l’effet est resté le même… . Etant un photographe professionnel j’ai travaillé sur du polaroid avant l’argentique et c’était quand même différent d’aujourd’hui. Mais en plus c’est tout autre aussi de shooter sur un Polaroid compact ; par la forme, la lentille, le déclencheur, le poids … Tout est différent comparé à un appareil de professionnel, mais le résultat est magique et cela ne changera jamais.
Comment votre travail, idée a évolué ?
L’idée était tellement simple, parce que je pensais à la magie du Polaroid. Les gens sont toujours heureux et attendent le développement avec un sourire sur leur visage ; les uns vont secouer le cliché, d’autres vont le mettre au chaud sous leur pull ou manteau et puis il y a ceux qui frottent … mais cela reste toujours positif et les images sont toujours d’une simplicité vu le système simple de l’appareil. Il ne faut jamais réfléchir à la technique, donc difficile de faire des erreurs.
Cela était mon idée, de shooter des choses simples avec l’appareil Polaroid. J’ai découvert des coins non connus dans mon appartement, des ombres et j’ai vu des choses nouvelles avec cet appareil en plastique.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Je suis ravi du résultat parce que c’est une autre façon de photographier. C’est facile, c’est un vrai cliché et on n’a pas besoin d’un ordinateur, d’un scan ou d’un laboratoire.
On fait sa photo tout seul en attendant le résultat. La batterie est dans le film, donc sans film on n’a pas besoin de batterie, et sans batterie on n’a pas de film.
Et maintenant ?
Je vais surement continuer à shooter avec le Polaroid. J’ai plein d’idées...à suivre.
Jan Van Endert
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Ma toute première photo, je l’ai faite petit enfant avec le Zeiss Nikon de mon père. Je l’avais shootée en été et vu que mon père n’avait développé le film qu’un mois plus tard, j’ai trouvé que photographier était ennuyeux.
Puis en tant qu’adolescent j’ai shooté au Polaroid et j’ai trouvé cela vraiment cool car on avait le résultat deux minutes plus tard. Le fonctionnement de l’appareil polaroid me paraissait aussi miraculeux.
Puis je me suis remis au polaroid il ya quelques année, et l’effet est resté le même… . Etant un photographe professionnel j’ai travaillé sur du polaroid avant l’argentique et c’était quand même différent d’aujourd’hui. Mais en plus c’est tout autre aussi de shooter sur un Polaroid compact ; par la forme, la lentille, le déclencheur, le poids … Tout est différent comparé à un appareil de professionnel, mais le résultat est magique et cela ne changera jamais.
Comment votre travail, idée a évolué ?
L’idée était tellement simple, parce que je pensais à la magie du Polaroid. Les gens sont toujours heureux et attendent le développement avec un sourire sur leur visage ; les uns vont secouer le cliché, d’autres vont le mettre au chaud sous leur pull ou manteau et puis il y a ceux qui frottent … mais cela reste toujours positif et les images sont toujours d’une simplicité vu le système simple de l’appareil. Il ne faut jamais réfléchir à la technique, donc difficile de faire des erreurs.
Cela était mon idée, de shooter des choses simples avec l’appareil Polaroid. J’ai découvert des coins non connus dans mon appartement, des ombres et j’ai vu des choses nouvelles avec cet appareil en plastique.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Je suis ravi du résultat parce que c’est une autre façon de photographier. C’est facile, c’est un vrai cliché et on n’a pas besoin d’un ordinateur, d’un scan ou d’un laboratoire.
On fait sa photo tout seul en attendant le résultat. La batterie est dans le film, donc sans film on n’a pas besoin de batterie, et sans batterie on n’a pas de film.
Et maintenant ?
Je vais surement continuer à shooter avec le Polaroid. J’ai plein d’idées...à suivre.
Pour Jan Van Endert, le travail photographique ne doit pas se faire sans une grande exactitude.
Né à Munster en Allemagne en 1974, Jan Van Endert est avant tout un photographe de précision.
Jan a travaillé jusqu'en 2001 comme assistant pour Christoph Morlinghaus et en 2003 il décida de démarrer une carrière professionnelle. Etabli à Hambourg, il se spécialise (sans jamais s'enfermer) dans la photographie automobile. Les plus grands constructeurs ont fait appel à sa créativité (Audi, Kia, Mercedes-Benz, Chrysler, Opel, Renault, Smart, Volkswagen).
Passé maître dans ce qu'il convient d' appeler la « précision allemande », il se caractérise par un choix de couleurs toujours rigoureux et un professionnalisme qui a poussé des marques d'autres univers à lui faire confiance. La Commerzbank, DHL, US Airways ou Siemens ont voulu travailler avec Jan pour sa capacité à lier création artistique et ambition commerciale en sollicitant un imaginaire fort.
Pour Jan Van Endert, le travail photographique ne doit pas se faire sans une grande exactitude et un recours à la retouche pour atteindre la finition la plus juste et la plus absolue.