Louis Gaillard
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Je souhaitais travailler initialement sur un sujet en extérieur fait d'images surtout en plan éloigné mais j'ai été au début très déçu par le rendu de ces images. Elles ne comportaient pas suffisamment de details et de contraste pour qu'elles soient utilisables. Sans compter le coté capricieux du comportement du film(température de développement).
Comment votre travail, idée a évolué ?
J'ai donc décidé, un peu dépité, de changer de sujet, mais le désir de faire des photos d'extérieur ne m'avais pas complètement quitté et au fur et à mesure que j'utilisais les films,je m'habituais à leur rendu particulier et aussi j'apprenais à mieux maîtriser leur développement.
Le thème choisi des serres du jardin des Plantes à Paris et des images de végétaux exotiques m'a paru bien coïncider avec ce que pouvaient offrir les films. Il y avait une certaine similitude avec des images du début du 20ème siècle réalisées sur le même thème.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Je suis globalement satisfait des résultats compte tenu du coté expérimental des films.Le choix du sujet étant en assez bonne corrélation avec ces derniers.
Et maintenant ?
Pour la suite, je suivrai l'évolution technique des produits et en fonction des sujets que j'aurais à photographier, il est probable que je réutiliserais ces films à développement instantané.
Louis Gaillard
Qu’avez-vous photographié en premier ?
Je souhaitais travailler initialement sur un sujet en extérieur fait d'images surtout en plan éloigné mais j'ai été au début très déçu par le rendu de ces images. Elles ne comportaient pas suffisamment de details et de contraste pour qu'elles soient utilisables. Sans compter le coté capricieux du comportement du film(température de développement).
Comment votre travail, idée a évolué ?
J'ai donc décidé, un peu dépité, de changer de sujet, mais le désir de faire des photos d'extérieur ne m'avais pas complètement quitté et au fur et à mesure que j'utilisais les films,je m'habituais à leur rendu particulier et aussi j'apprenais à mieux maîtriser leur développement.
Le thème choisi des serres du jardin des Plantes à Paris et des images de végétaux exotiques m'a paru bien coïncider avec ce que pouvaient offrir les films. Il y avait une certaine similitude avec des images du début du 20ème siècle réalisées sur le même thème.
Etes-vous satisfait du résultat ?
Je suis globalement satisfait des résultats compte tenu du coté expérimental des films.Le choix du sujet étant en assez bonne corrélation avec ces derniers.
Et maintenant ?
Pour la suite, je suivrai l'évolution technique des produits et en fonction des sujets que j'aurais à photographier, il est probable que je réutiliserais ces films à développement instantané.
La légèreté devient une seconde nature dans des images très visuelles.
Louis Gaillard est né en France où il a su acquérir à travers de nombreuses expériences un regard unique sur la lumière.
Son travail se concentre essentiellement sur cette lumière qui, sous les formes les plus subtiles et dans ses représentations les plus diverses, est l'objet de toutes les attentions. Le papier incandescent côtoie la transparence du plastique, l'éclat du jour et le reflet d'une lampe dans un liquide. Totalement autodidacte, Louis Gaillard voit dans ses jeux sur la transparence une façon de transcender la nature première des objets photographiés. La légèreté devient donc une seconde nature dans des images très visuelles. Aussi, quel que soit l'objet auquel s'attache l'objectif de Louis Gaillard, celui-ci semble prendre vie et entrer en action.
Son sens aigu de la légèreté trouve naturellement sa place dans ses travaux de nature morte pour les plus grandes marques (Lacoste, Nespresso) ou encore des magazines.