Michael Schnabel
Qu’avez-vous photographié en premier ?
J’ai joué avec le film dans et autour du studio dans un environnement connu. Photographiant des choses que je pouvais répéter afin d’appréhender et sentir le film. On m’avait prévenu que le film était spécial… pour le dire gentiment.
Comment votre travail, idée a évolué ?
J’avais l’idée de shooter une série sur laquelle je travaille déjà qui est un projet de paysages. Mais vu l’aspect non contrôlable du film, c’était impossible.
J’ai joué avec plusieurs idées et développé des concepts tout en réalisant qu’aucun ne marchait avec ce film PX.
Il me semble qu’il faut lâcher prise et ne pas essayer de tout contrôler. Les images n’apparaissent que très lentement et le film est incontrôlable. Et puis on me dit que le film n’est pas stable..
Donc lâcher prise pour moi c’est d’avoir l’esprit ouvert, un esprit enjoué et ne pas essayer de contrôler.
J’ai donc finalement travaillé sur un projet ‘personnages’ avec une approche positive tout en ne connaissant pas le résultat.
Etes-vous satisfait du résultat ?
A cet instant j’aime beaucoup le résultat, je pense qu’il y a une sensation agréable avec ce film qui est très inattendue.
Et maintenant ?
Il y a quand même des « bugs » importants dans ce film PX. J’espère que ceux-ci vont être résolus et si oui je serai heureux de continuer à utiliser ce film.
Même si je pense que ce film est un support très intéressant à utiliser.
Sans parler que c’est juste incroyable que quelques gars tentent de reproduire ce film à nouveau.
Michael Schnabel
Qu’avez-vous photographié en premier ?
J’ai joué avec le film dans et autour du studio dans un environnement connu. Photographiant des choses que je pouvais répéter afin d’appréhender et sentir le film. On m’avait prévenu que le film était spécial… pour le dire gentiment.
Comment votre travail, idée a évolué ?
J’avais l’idée de shooter une série sur laquelle je travaille déjà qui est un projet de paysages. Mais vu l’aspect non contrôlable du film, c’était impossible.
J’ai joué avec plusieurs idées et développé des concepts tout en réalisant qu’aucun ne marchait avec ce film PX.
Il me semble qu’il faut lâcher prise et ne pas essayer de tout contrôler. Les images n’apparaissent que très lentement et le film est incontrôlable. Et puis on me dit que le film n’est pas stable..
Donc lâcher prise pour moi c’est d’avoir l’esprit ouvert, un esprit enjoué et ne pas essayer de contrôler.
J’ai donc finalement travaillé sur un projet ‘personnages’ avec une approche positive tout en ne connaissant pas le résultat.
Etes-vous satisfait du résultat ?
A cet instant j’aime beaucoup le résultat, je pense qu’il y a une sensation agréable avec ce film qui est très inattendue.
Et maintenant ?
Il y a quand même des « bugs » importants dans ce film PX. J’espère que ceux-ci vont être résolus et si oui je serai heureux de continuer à utiliser ce film.
Même si je pense que ce film est un support très intéressant à utiliser.
Sans parler que c’est juste incroyable que quelques gars tentent de reproduire ce film à nouveau.
Michael ne délaisse pas sa passion artistique, ce qui lui vaut des prix prestigieux
Né à Neunkirchen en Allemagne en 1966, Michael Schnabel s'installe à San Francisco (Californie) à l'âge de 25 ans, après avoir étudié la photographie en Allemagne.
En 1995, il décide de s'installer comme photographe professionnel à Stuttgart, où il vit toujours. Dans un premier temps, Michael concentre son travail sur des contrats commerciaux auprès de Hyundai, SAP, HSBC, Jeep ou la ville de Stuttgart.
Toutefois Michael ne voulait pas délaisser sa passion artistique, qui lui vaudra certains des prix les plus prestigieux de la profession, parmi lesquels on peut distinguer : l'AOP Gold à Londres, l'ADC Gold en Allemagne, le Communication Arts aux Etats-Unis. Il a aussi été sélectionné pour être inclus dans la liste des 200 meilleurs photographes du monde du Lürzers Archive. Fréquemment exposé dans des galeries du monde entier, Michael fait également l'objet d'une attention toute particulière de nombreux magazines, dont Photo Technik International, qui l' a classé dans « la crème de la crème de la photographie publicitaire ». A Paris Michael est exposé à la galerie Esther Woerdehoff depuis 2007.